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jeudi 10 septembre 2020

Entre 1970 et 2016, les populations de vertébrés sauvages ont chuté de 68%

 

L'effondrement des populations de poissons, oiseaux, mammifères, amphibiens et reptiles s'accélère dans le monde

Par Coralie Schaub — 10 septembre 2020 à 07:22 - Journal Libération -
Un orang-outan, espèce «en danger critique d'extinction» sur la liste rouge de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).
Un orang-outan, espèce «en danger critique d'extinction» sur la liste rouge de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Photo Chester Zoo. Reuters

Entre 1970 et 2016, les populations de vertébrés sauvages ont chuté de 68% au niveau mondial, alerte un rapport du WWF publié ce jeudi. L'humanité, qui en est responsable, en est aussi victime.

Notre maison perd la vie qu’elle héberge (toujours plus, toujours plus vite) et nous regardons ailleurs (encore et toujours) – pour paraphraser Jacques Chirac au sommet de la Terre de 2002. L’ONG WWF publie ce jeudi son dernier rapport «Planète vivante» sur l’état de la biodiversité mondiale. Sans surprise, celui-ci est terrifiant. Pire, la tendance insensée déjà pointée par les derniers rapports, datant de 20182016 et 2014, s’aggrave. Cette année, l’«indice planète vivante» (IPV, calculé par la Société zoologique de Londres à partir de données scientifiques collectées sur 21 000 populations appartenant à plus de 4 000 espèces de vertébrés), montre qu’entre 1970 et 2016, les populations de vertébrés sauvages (poissons, oiseaux, mammifères, amphibiens et reptiles) ont chuté de 68% au niveau mondial. Ce chiffre était de 60% en 2018 et de 58% en 2016.

mercredi 2 septembre 2020

Parc des Rapides

 

Visitez Montréal
11:23 1 septembre 2020 | mise à jour le: 1 septembre 2020 à 12:04 temps de lecture: 3 minutes

Observer les oiseaux dans les alentours

Observer les oiseaux dans les alentours
Photo: ArchivesLe parc des Rapides est situé sur le boulevard LaSalle, dans l’arrondissement de LaSalle.

À plusieurs endroits dans le monde, les animaux ont profité du confinement des humains pour reprendre leurs aises dans les villes. Pourquoi ne pas profiter de l’été pour entendre le chant d’oiseaux ou les observer dans un parc.

Dans l’arrondissement de LaSalle, le parc des Rapides est l’un des grands parcs urbains de Montréal. Il est reconnu pour abriter une grande diversité de la faune. On y retrouve 225 espèces d’oiseaux, 66 espèces de poissons de même que des amphibiens, des reptiles et des mammifères. On peut même y voir différentes espèces de tortues.

On peut aussi observer l’une des plus grandes colonies de hérons au Québec. Il y a aussi de plus petits oiseaux colorés comme les parulines jaunes ou encore des orioles de Baltimore. Les bihoreaux sont également présents au lever et au coucher du soleil.

Dans le parc de 30 hectares, un belvédère y est aménagé ainsi que des panneaux d’interprétation qui relatent l’histoire des rapides et de l’ancienne centrale hydroélectrique.

Le parc est aussi prisé par les randonneurs, les kayakistes et les pêcheurs. Il a la réputation d’être le meilleur endroit pour observer de près les Rapides de Lachine.

L’Île-des-Soeurs

Le domaine Saint-Paul, aussi appelé le boisé de L’Île-des-Sœurs constitue une importante halte migratoire pour les oiseaux. Ses 26 hectares font partie de l’écoterritoire des Rapides de Lachine, lequel est protégé par la Ville de Montréal par sa politique de mise en valeur des milieux naturels.

Des sentiers d’interprétation totalisant 2,5 km y ont été aménagés et on y retrouve également le lac des Battures. Celui-ci a été créé dans les années 1990 à la suite de l’abandon d’un projet d’enfouissement sur l’île. Il est un prolongement d’un grand marécage, lequel est un attrait pour la faune.

Plusieurs dizaines d’espèces d’oiseaux nichent dans le boisé du domaine Saint-Paul, notamment le hibou des marais et le petit-duc-maculé. Plus d’une centaine d’autres espèces migrent ou hibernent dans le parc tels que les canards colverts et d’Amérique.

Le parc abonde aussi plusieurs plantes menacées et vulnérables. L’élyme velu notamment, est considéré très rare au Québec et se retrouve le long des sentiers aménagés. Parmi les espèces menacées, le cinna roseau, la cardamine laciniée et le carex à feuilles poilues sont quelques exemples que vous pourrez croisé dans le boisé.

Le domaine Saint-Paul est situé sur la pointe sud de l’île et il est désigné comme écosystème forestier exceptionnel par le ministère des Forêt, de la Faune et des Parcs du Québec.

Quand observer les oiseaux

Le plus souvent, les oiseaux sont actifs le matin. Les premiers chants commencent environ une demi-heure avant le lever du soleil et cela peut continuer pendant quatre ou cinq heures. Il y a ensuite une diminution des activités et cela reprend de manière plus modérée en fin de journée. Il existe aussi des oiseaux nocturnes qui sont plus actifs la nuit.

mardi 1 septembre 2020

Tortue serpentine

 

Ponte de tortue serpentine

La chélydre serpentine ou tortue hargneuse est la plus grosse tortue d’eau douce du Canada.

Article mis en ligne le 6 juin 2012
dernière modification le 27 décembre 2015

par Christian

 Chelydra serpentina ou tortue serpentine

Classification classique

Règne Animalia, Embranchement Chordata
Sous-embr. Vertebrata, Classe Reptilia
Ordre Testudines, Famille Chelydridae
Genre Chelydra, (Linnaeus, 1758)
Nom binominal Chelydra serpentina (Linnaeus, 1758)

 Description

La chélydre serpentine ou tortue hargneuse est la plus grosse tortue d’eau douce du Canada. Sa carapace peut mesurer 50 cm (19,5 po) de longueur pour un poids de 20 kg (44 lb).
Elle est impressionnante avec son long cou serpentiforme, sa tête massive et large pourvue de mâchoires puissantes et acérées, ses barbillons sous le menton, ses pattes musclées et griffues, sa queue longue. Elle est brun foncé avec de petits tubercules sur les pattes et un plastron jaune - beige - brun sale. Le mâle est plus grand avec une queue plus longue.
Sa carapace brunâtre ou beige est parcourue par trois carènes. Le plastron est réduit et cruciforme. La tête est grosse et une ligne pâle relie l’œil au cou. Possède une paire de barbillons sur le menton. La queue est longue et ornée d’écailles triangulaires lui donnant l’apparence d’une scie. La carapace peut atteindre environ 50 cm. Sa carapace est souvent recouverte d’algues et à l’arrière de sa dossière, on peut voir des écailles en dents de scie. Sa carapace est trop petite pour son grand corps et elle ne peut s’y réfugier totalement.

 Danger

Si vous la voyez, laissez-la en paix et n’essayez pas de la toucher. Elle est d’une rapidité surprenante et si vous l’embêté ou si vous essayez de la saisir, elle vous aura mordu avant que vous ne compreniez le danger ! Son cou est très long et sa mâchoire est très puissante et elle peut vous sectionner un doigt facilement. Son nom, tortue hargneuse vient du fait qu’elle se défend avec fougue et agressivité, mais ses attaques sont défensives. Si vous la laissez en paix, elle ne vous inquiétera pas. Dans l’eau, elle fuira au moindre danger.

Si vous la voyez, laissez-la tranquille ; surtout, n’y touchez pas !

 Distribution et habitat

On la trouve du sud du Canada jusqu’en Amérique centrale. Elle est commune aux États-Unis à l’est des Rocheuses et dans le sud du Canada, de la Nouvelle-Écosse à la Saskatchewan. Elle est tres active tôt le matin et tard, en fin d’aprés midi. On peut parfois la croiser sur la terre ferme à l’aube ou de nuit, mais elle passe le plus clair de son temps au fond des cours d’eaux, lacs, marais dans les zones de plantes aquatiques denses. Difficile à apercevoir, elle monte respirer doucement et ne laisse dépasser de l’eau que ses narines et ses yeux ce qui la rend pratiquement invisible. Elle fréquente principalement les marais, étangs, rivières, ruisseaux, fossés et les zones peu profondes des lacs.

 Longévité

Jeune, elle grandit vite, une tortue de deux ans mesure déjà une quinzaine de cm. Une tortue de 15 à 20 ans ferait 35 cm. Dans la nature, elle peut vivre une quarantaine d’années alors qu’en captivité, elle peut atteindre 50 ans.

 Reproduction

L’accouplement a lieu dans l’eau au printemps. Les femelles migrent vers les lieux de nidification qui peuvent être assez loin, jusqu’à 10 km.
À la tombée du jour, de nuit ou tôt le matin, les tortues sortent de l’eau, vont vers les zones de sable où elles font leurs nids, creusent le sol avec leurs pattes arrière, pondent leurs œufs, rebouchent soigneusement le trou, effacent les traces qui pourraient permettre de trouver le nid et repartent à la rivière. Les œufs sont ronds et blancs et leur nombre varie selon la taille de la femelle. Des tortues de taille moyenne peuvent faire de 25 à 50 œufs et jusqu’à 70 pour les plus grandes. L’incubation dure environ 50 jours.
La maturité sexuelle des tortues arrive entre 10 et 13 ans selon le sexe.

 Alimentation

Cette tortue est omnivore opportuniste. Elle chasse généralement cachée près de la surface à l’affût, guettant ses proies. Vorace, elle se nourrit aussi bien de mollusques, insectes, vers, poissons, amphibiens, reptiles, oiseaux, petits mammifères que plantes aquatiques (30% à 40% de son régime alimentaire).

Dotée d’un bon flair, elle s’en sert avec efficacité pour chasser. Charognard, elle se repaît également de poissons morts, animaux noyés...

Elles sont actives de nuit et s’observent rarement le jour, car elles s’enfuissent dans la boue ou le sable en attendant la nuit.

 Hivernage :

Ces tortues hibernent en hiver. Elles s’enfouissent dans les bas-fonds vaseux des étangs pendant de longues périodes.
La tortue serpentine au Val à l’âne :

Tous les ans, nous pouvons observer la ponte des tortues serpentines au Val à l’âne. Dans le pâturage de nos ânes, il existe un lieu de ponte que nous protégeons pour permettre à l’espèce de se maintenir. Nous le gardons en état et nous éloignons les prédateurs des œufs (ratons laveurs, moufettes, renard) grâce à nos ânes qui font bonne garde. Nous avons ainsi la joie de voir venir pondre en toute quiétude, année après année une colonie importante de tortues serpentines dont certaines de taille imposante.

Tous les ans, nous observons une tortue qui vient pondre sur 3 pattes ! Sa patte arrière droite est amputée.

Une fois la ponte terminée, elle bouleverse le sol, l’aplanit afin de cacher l’entrée du nid. Là, elle a été dérangée avant d’avoir fini par une moufette.

Un nid vient d’être pillé par un raton laveur. On voit les coquilles d’œuf vides qui jonchent le sol.
Une fois, j’ai vu une moufette qui mangeait les œufs directement au fur et à mesure que la tortue les pondait.

lundi 15 juin 2020

Par Gouvernement du Canada



Refuge d’oiseaux migrateurs de l’Île-aux-Hérons

Le refuge d’oiseaux migrateurs de l’Île-aux-Hérons est situé entre l’Île de Montréal et la rive sud du fleuve Saint-Laurent. Le grand héron niche au sein de cet habitat.

Importance du refuge : oiseaux migrateurs et espèces sauvages

Situé au sud de l’île de Montréal, le refuge d’oiseaux migrateurs de l’Île-aux-Hérons occupe 631 hectares et englobe la majeure partie des rapides de Lachine. Ce refuge a été créé en 1937 pour protéger un lieu de nidification essentiel pour le grand héron.
Grand héron
Grand héron. Photo : Simon Pierre Barrette
La taille des colonies de hérons varie d’année en année. Malgré la protection que le refuge offre à l’espèce, la population de grands hérons a grandement fluctué au fil du temps. Ainsi, le nombre de nids occupés a été plus important dans les années 1990 qu’au cours des décennies 1970 et 1980. Depuis les années 2000, le nombre de nids actifs dénombrés pour cette espèce est à la baisse. Les bihoreaux gris sont aussi nombreux à nicher dans ce refuge. La grande aigrette utilise également les lieux pour nicher, mais en moins grand nombre.
Grand hérons
Grand héron. Photo : Benoît Audet
Le saviez-vous?
Quand il chasse, le grand héron se tient debout dans l’eau absolument immobile et attend qu’une proie alléchante se présente; alors, il frappe, et s’il a du succès, il essaie d’avaler tout rond sa proie.
Malgré son nom, le refuge d’oiseaux migrateurs de l’Île-aux-Hérons sert aussi de lieu d’alimentation, de repos et de nidification à de nombreuses autres espèces d’oiseaux. Parmi les oiseaux connus pour y nicher, on compte :
  • le canard colvert
  • le canard d’Amérique
  • le canard chipeau
  • le canard noir
  • le carouge à épaulettes
  • la paruline jaune
Durant les périodes de migration, diverses espèces de sauvagine, comme le garrot à œil d’or, le canard noir, le canard colvert et la sarcelle d’hiver, sont aussi régulièrement observées dans le refuge. Le grèbe esclavon peut également être vu à l’occasion, et, durant l’hiver, un bon nombre de harles huppés fréquentent l’endroit.

Paysage

Le refuge d’oiseaux migrateurs de l’Île-aux-Hérons comprend non seulement l’île aux Hérons, mais aussi un certain nombre d’îles et îlots des environs, dont l’île aux Chèvres, l’île au Diable de même que l’île à Boquet, laquelle longe la Voie maritime du Saint-Laurent. Le refuge comprend aussi les eaux baignant ces îles.
La végétation de ces îles basses est composée d’arbres, comme le tilleul d’Amérique, l’orme d’Amérique et l’orme rouge, ainsi que de plantes herbacées et d’arbustes, comme le millepertuis à grandes fleurs et le sumac vinaigrier. Certaines des îles abritent aussi quelques espèces végétales en péril, comme le noyer cendré et l’arisème dragon. Les eaux entourant ces masses terrestres renferment diverses plantes, notamment :
  • le myriophylle en épi
  • l’alisma commun (ou plantain d’eau commun)
  • le potamot pectiné
  • la vallisnérie d’Amérique
  • l’hétéranthère litigieuse
  • le nymphéa tubéreux (ou Nénuphar blanc)
  • la scutellaire minime

Carte du refuge

Carte montrant l’emplacement du ROM de l'Île aux Hérons
  • Description longue

Accès au refuge

Des refuges d’oiseaux migrateurs, comme celui de l’Île-aux-Hérons, sont établis à la grandeur du pays afin de protéger les oiseaux migrateurs durant les périodes critiques de leur cycle vital. Que ces refuges soient utilisés par les oiseaux pour s’alimenter, se reposer ou nicher, ils jouent un rôle important dans la survie de nombreuses espèces. Les conditions d'accès aux refuges varient d'un site à l'autre et sont établies par le propriétaire et le gestionnaire des terres. Veuillez-vous assurer de savoir comment préserver l’état du refuge et veuillez lire les interdictions (notamment en ce qui concerne les armes à feu et la chasse) qui s’y appliquent afin de protéger la faune qui y vit. N’oubliez pas que les chats et les chiens ne peuvent circuler librement dans les refuges d’oiseaux migrateurs.
Si vous souhaitez obtenir de plus amples renseignements sur les activités permises dans les refuges d’oiseaux migrateurs, veuillez consulter la section Gestion et activités du site Web. Pour obtenir de plus amples renseignements sur le refuge d’oiseaux migrateurs de l’île-aux-Hérons, veuillez communiquer avec notre bureau régional.

Faits saillants concernant le refuge d’oiseaux migrateurs de l’Île-aux-Hérons

Désignation de l’aire protégéeRefuge d’oiseaux migrateurs
Province ou territoireQuébec
Latitude/longitude45° 25' 00" N/73° 35' 00" O
Superficie631 hectares
Date de création (publication dans la Gazette du Canada)1937

mercredi 22 avril 2020

11 juillet 2016 - En reprise -


16:30 11 juillet 2016 | mise à jour le: 11 juillet 2016 à 16:30 TC Media Messager de LaSalle


225 espèces d’oiseaux au parc des Rapides

225 espèces d’oiseaux au parc des Rapides



L’ornithologue amateur Jean-Marc Lacoste a passé des années à explorer les milieux naturels de LaSalle, Verdun et les environs à la recherche d’oiseaux. Son lieu de prédilection est assurément le parc des Rapides, avec ses 225 espèces répertoriées. Il dévoile ses trucs pour observer cette faune ailée en pleine action.
Retraité depuis huit ans, l’ancien politicien arpente maintenant les parcs à raison d’une heure par jour. Armé de son appareil photo, il a monté un inventaire de 127 espèces d’oiseaux. Il a d’ailleurs été nommé membre du conseil d’administration de l’organisme sans but lucratif Héritage laurentien, qui veille principalement à la conservation des milieux naturels.
Espèces à voir
Présentement, les petits des parulines jaunes, des orioles de Baltimore, des viréos mélodieux et des tyrans tri-tri sont sortis du nid. C’est donc un moment privilégié pour apercevoir les parents en train de nourrir leur progéniture.
Ces oiseaux sont de taille assez modeste, cependant, et il peut être difficile de les voir. «Si vous croisez des photographes ou des animateurs, il ne faut pas hésiter à leur demander ce qu’ils voient. Ils vont pouvoir vous guider», conseille-t-il.
Il y a également certaines espèces plus faciles à observer, comme le grand héron, qui a donné son nom à l’archipel du canal Lachine devenu un refuge d’oiseaux migrateurs protégé en 1937.
Les bihoreaux sont également très présents au lever et au coucher du soleil ces temps-ci, et des volées d’une trentaine de sternes pierregarins peuvent être aperçues plongeant dans le canal, pêchant pour leurs petits.
Écosystème fragile
La diversité faunique du parc des Rapides s’étend bien au-delà de ses habitants ailés. Les arbres ont dû être protégés des castors qui ont élu domicile dans le canal. Des visons d’Amérique et des ratons laveurs font également partie de leur voisinage.
On y trouve aussi normalement trois espèces de tortues, mais une quatrième est venue s’ajouter au lot il y a sept ans, la tortue géographique. Héritage laurentien envoie chaque année un rapport au gouvernement fédéral sur celle-ci, puisqu’il s’agit d’une espèce protégée.
Pour s’assurer que les milieux naturels fréquentés par ces espèces restent en bon état, M. Lacoste espère voir les différents paliers de gouvernement et les arrondissements voisins travailler ensemble.
«Il faut bien se rappeler que les oiseaux, eux n’ont pas de frontière», soutient-il, souhaitant que les infrastructures du parc soient mieux entretenues et que les espaces qui l’entourent continuent à être bien protégés.